Le Brunch

Good Morning Brunch.fr!

Désormais, il n’y a plus à s’inquiéter pour prendre convenablement son brunch car les professionnels des métiers de bouche l’on intégré avec succès à leurs offres. Mieux, ils rivalisent d’ingéniosité au grand bonheur de la clientèle. Si auparavant, il fallait être dans un restaurant de Paris ou d’une grande agglomération pour avoir ce repas, ce n’est plus le cas maintenant. Que ce soit un samedi, un dimanche ou un autre jour, on trouve toujours un Brunch dans un restaurant tout près de soi. Alors, on peut profiter de son sommeil et faire la grasse matinée sans pour autant risquer de manquer les mets qu’on aime au petit déjeuner et au déjeuner. Les recettes sont intéressantes les unes que les autres. On trouve au menu entres autres des « scones au fromage » à l’anglaise, des pancakes comme chez les anglo-saxons mais aussi du fromage, du poisson, de la volaille comme on sait le faire chez nous. Vous trouverez bientôt sur Brunch.fr, toute l’actualité et les meilleures adresses pour prendre son Brunch non loin de chez soi. Pour les plus exigeants, un classement sans complaisance est régulièrement effectué afin de leur permettre de faire le meilleur choix dans leur ville. Ceux qui aiment plutôt les bons plans ne sont pas oubliés sur Brunch.fr. Il y a aussi sur le site des recettes pour ceux qui aimeraient trouver la recette idéale afin de réaliser un bon brunch à la maison le dimanche.

Mais en fait, qu’appelle t-on brunch ?

Belle contraction des vocables « breakfast » et « lunch« , le brunch est un repas à prendre entre la fin de la matinée et le début de l’après midi. Il permet de ne pas « regretter » ce qu’on aurait du prendre au petit-déjeuner (breakfast) et de profiter pleinement du déjeuner (lunch). Bien entendu, il ne s’agit guère de faire de l’excès en ingurgitant à la fois ce qu’il y a au menu des deux types de repas mais plutôt de faire une bonne combinaison comme son nom l’indique. Très souvent, il s’apparente à un buffet et chacun se sert selon ses goûts et préférences. C’est ce qui explique en partie qu’on l’ait aussi appelé « déjeuner-buffet« . S’accompagnant parfois de cocktails (Bellini, Bloody Mary, Milk Shakes…) et presque toujours de champagne, ce repas original est assimilé à New-York à un déjeuner qu’on prend dans l’après-midi. Pour ce qui est de la composition du Brunch, tout est fonction des habitudes alimentaires. Le principe est qu’il doit y avoir une entrée, un plat de résistance et un dessert. En général, on commence par le sucré mais rien n’empêche de débuter par du salé et terminer par le sucré. Les tartes salées, la salade, la mayonnaise et l’œuf peuvent bien constituer une excellente entrée tandis que les crêpes, pancakes, muffins et les cakes attendront pour le dessert. Pour le plat, chacun y va de son inspiration : on mangera différemment selon qu’on est à la maison ou dans un grand restaurant de Paris, de Londres ou New York. On peut donc confectionner la recette de Brunch à sa guise.

Un peu d’histoire…

La tradition du brunch provient des États-Unis où la recette diffère d’une région à l’autre. Par exemple, en Californie, on peut se contenter de pain, de fromage et de fruits comme accompagnement de ce déjeuner-buffet tandis qu’à New York, il faut nécessairement du champagne. A partir du XIXème siècle, la Grande-Bretagne adopte cette tradition culinaire qui s’y développe si bien que les ressortissants d’autres pays d’Europe et d’Amérique en sont séduits. Ils l’importent donc chez eux, ce qui fait le bonheur des fins gourmets. Désormais, le Brunch est proposé dans les hôtels, les restaurants, les cafés même en semaine et non pas seulement le dimanche ou le week-end. Il faut préciser qu’en France et notamment à Paris, ce type de repas est apparu dans les années 1980. L’académie française a prescrit sans succès l’usage de l’expression « grand petit déjeuner » pour qualifier le Brunch. Par contre, « déjeuner dinatoire » qui paraît moins lourd est parfois utilisé en lieu et place du terme anglais. Mais, « déjeuner-buffet » qui semble mieux désigner ce repas, est plus utilisé par les francophones.